Bien sûr, vous être libre d'aller où vous voulez, comme vous voulez. Mais d'ailleurs, que voulez-vous?
Cherchez bien la réponse. Pas la première, le réflexe conditionné. Non, la vraie réponse. Celle qui vous semble toujours farfelue. Celle à laquelle vous n'osez abandonner vos pensées.
Si vous faites l'exercice avec honnêteté, vous vous retrouvez peut-être dans une mystérieuse sensation d'inconfort.
Bizarre. Pourquoi une minuscule petite question soulève une réaction suffisamment importante pour en arrivez à la classique conclusion : "C'est inutile comme question"?
Parce qu'y répondre c'est toucher au sens profond de votre vie. Mais voilà, la sensation du vide de vrai sens, celui qui réconforte, n'est pas très agréable.
Et l'absence de sens génère le sens et si vous n'avez pas défini le vôtre...les autres s'en chargent.
Les hauts dirigeants des grandes organisations, flanqués de leurs gourous marketing, connaissent très bien la faiblesse de l'homme du 21e siècle, l'homme désincarné d'une essence réelle.
Armés de rêves et supportés par l'économie de marché, ces faiseurs initialement d'idées sont devenus peu à peu des créateurs de sens.
Maintenant, réfléchissez bien. La prochaine fois que vous prenez la décision d'acheter telle ou telle marque de vêtement, de voiture, de parfum, est-ce vraiment votre choix ou le ...leur?
Êtes-vous conditionné par votre environnement ou conditionneur de votre environnement?
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