J'ai croisé par hasard ce matin une entrevue au canal Vox avec le cinéaste Hugo Latulippe.
Ce fût une brise de fraîcheur, ou plutôt peut-être un baume pour mon âme de l'entendre exprimer ses vues sur la société avec un arrière-plan de philosophie et de spiritualité.
Je me sens moins seul sur le chemin de la remise en question et de la dénonciation d'un système social modulé par un système économique inéquitable et dépassé par les exigences d'une nouvelle ère de redéfinition de l'homme moderne.
Ses mots et sa vision me redonnent espoir et m'ont insufflé aussi un regard positif sur le travail à venir.
Pour moi, un moment de paix avec le paradoxe que si l'identification des lacunes de notre société entraine souvent des sentiments négatifs, génère des perceptions négatives chez notre entourage, cela ne veut pas dire que l'espoir et la volonté d'agir positivement sont absents. Bien au contraire.
Merci, Hugo Latulippe de m'avoir rappelé qu'il y a, autour de nous, des gens dont le sens critique est aiguisé. Des gens qui travaillent à l'avancement de l'être humain. Parfois de façon plus souterraine qu'en surface mais, toujours avec une volonté renouvelée de faire de l'homme quelque chose de plus qu'une espèce en voie d'extinction.
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